viernes, abril 27, 2012
martes, abril 24, 2012
Peces...
El azar es una regla oculta,
El pez detrás del morro, lo explica todo.
Pero al no ver el pez,
sólo parece un golpe en la superficie del agua.
Le hasard est une règle occulte,
comme la bouche du poisson en apparaissant outre l'eau.
Le poisson derrière la bouche tout en explique.
Mais, quand on ne voit pas le poisson,
c'est tout seul un coup à la surface de l'eau
domingo, abril 22, 2012
martes, abril 17, 2012
viernes, abril 13, 2012
Boceto para un Enigma
En la puerta del edificio, me topé con Daltoni, que salía muy apurado.
-Perdón, perdón - luego de atropellarme, él me palpaba como para constatar
que no tuviese huesos rotos mientras preguntaba, -¿Estás bien?!¿Estás bien?!
- Estoy bien, no pasó nada - traté de tranquilizarlo.
-Vos estás bien? - le dije, porque lo noté inusualmente desencajado...
- Sí, bien bien... pero cada vez peor - dijo, sosteniendo la sonrisa como una mueca,
copia de algo que alguna vez fue real.
- ¿?!- No supe como seguirle la charla; pero él la siguió
-Este Soretri... me aumentó las cuotas... no sé... no sé... - buscaba las palabras para seguir,-
Me queda ésto - extendió el puño y me mostro unos magros billetes
- Y qué vas a hacer?-
- Voy a comprar todo ésto de kerosén... le voy a quemar el auto...
Ojo!, no el que deja en la playa municipal, el otro, el deportivo color guinda...-
Otra vez me quedé sin poder seguir la charla, aunque Daltoni ya había perdido
interés y se despidió - Me voy corriendo, antes de que me aumenten el kerosén.-
Finalmente, entré en casa y me puse a preparar la cena. Por reflejo, encendí la radio
aunque como siempre, pareciera muda.
Esquisse pour un Enigme
(Attention: mauvais traduction du texte, mais finalement, traduction)
À la porte d'entrée du bâtiment, je me suis heurté Daltoni,
qui sortait très pressé.
- Excuse-moi!, Excuse-moi!- après m'être bousculé, il me palpait
pour constater qu'il ne m'avait pas cassé les os , tandis qu'il
me demandait, - : Tu te trouves bien ?! Toi ?!
- Je suis bien, rien s'est passé - j'ai essayé de le tranquilliser.
- Toi, tu vas bien ? - je lui ai dit, car il ressemblait inhabituellement déboîté ...
- Oui, bien bien ... mais pire de plus en plus- Il m'a dit, en soutenant le sourire
comme une grimace, comme une copie de quelque chose qui a été réel ça fait loin temps.
- ¿ ?! - je n'ai pas su suivre leur bavardage; mais il l'a suivie - Ce mec, Soretri ...
il m'a augmenté les impôts ... je ne sais pas ... je ne sais pas ... - Il cherchait
les mots pour suivre, - Il ne me reste que ça, tout seul... - il m'a montré quelques maigres monnaies
- Et qu'est-ce que tu vas faire avec? -
- je vais acheter du kérosène ... je vais brûler leur voiture...
Attention!, pas celui qu'Il laisse sur le parking municipale, l'autre, la sportive à couleur guinde ...-
À nouveau, je suis resté sans pouvoir suivre leur bavardage, bien que Daltoni eût déjà perdu
l'intérêt et il a pris congé -
Finalement, je suis rentré chez moi et me suis mis à préparer le dîner. Par réflexe,
j'ai allumé la radio bien que comme toujours, elle semblât muette.